Michel RACOIS
Peintre
Première exposition personnelle à TOULOUSE en 1977, à la galerie Simone BOUDET. A travaillé principalement et régulièrement avec cette galerie (jusqu’à sa fermeture en 2000), avec la galerie J.M. Cupillard (GRENOBLE jusqu’à sa fermeture en 2007), l’artothèque de MIRAMAS, et l’Espace Musicart (SALON-de-PROVENCE jusqu’en 2010). Expose aujourd’hui régulièrement à la galerie Traces à Pernes-les-Fontaines.
Expositions personnelles ponctuelles à AVIGNON, GORDES, MONTPELLIER, SALON-de-PROVENCE, PARIS… A participé à de nombreuses manifestations de groupe, en particulier au sein de ‘’Figuration critique’’, et à divers salons ou foires internationales.
Manifestations en 2017 :
PERNES-les- FONTAINES (Vaucluse) - Mars- Mai 2017
Galerie Traces et Chapelle des pénitents Blancs
Exposition des artistes de la galerie Traces pour ses 20 ans d’existence.
Parution de la plaquette ‘’La mémoire de la pierre’’ (texte de Jeannine Botella, illustrations de Michel Racois).
Participation au festival ‘’Trace de poète’’ (Vaucluse) : exposition autour de la pierre avec Françoise Ducret et Philippe Chiron, présentation du diaporama ‘’La mémoire de la pierre’’.
SENAS (Bouches-du- Rhône):
Médiathèque : Rencontre, dédicace de ‘’La mémoire de pierre’’ présentée par les auteurs.
EYGUIERES :
Participation à l’exposition collective sur le thème de l’eau (avril).
Journée d’auteurs (7 octobre)
Un mot sur les toiles proposées à l’exposition ‘’Lignes et Espaces’’ :
Par delà les fenêtres, systématiquement présentes dans ma peinture ces dernières années, derrière les rideaux, l’œil embrasse le ciel et l’eau. Une eau dormante qui se fait envahissante, pénètre l’habitat, s’engouffre, envahit l’espace, se joue des cloisons, noie les rideaux. Ambivalente car le calme apparent cache une inquiétude sous-jacente. La surface spéculaire dévoile sa profondeur et son mystère tout en renvoyant au reflet, au mythe de Narcisse. L’eau plate et la fenêtre sont deux métaphores du miroir.
Le dialogue, ainsi établi, entre ‘’l’au-dehors’’ et ‘’l’en-dedans’’ me pousse à mettre, une nouvelle fois, un pied dans l’abstraction, la troisième tentation en 40 ans de peinture.